poèmes et petites histoires

j'y présente mes poèmes, ainsi que de courtes histoires (qui, généralement, étaient des rédactions au départ)

posté le 18-04-2014 à 10:12:05

bonjour, cette fois je vais vous présenter de petits poèmes japonais, qu'on appelle haïkus. ce sont de courts poèmes de 3 lignes, et j'en ai fait quelques un que je vais vous montrer. généralement, on les utilise pour décrire un court instant.

 

Le soleil couchant                          

Embrase l'horizon                       

De mille feux brulants.       

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Une forêt en feux 

Un seul arbuste survit

Qui fera rennaître la forêt.

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Les nuages s'écartent

Laissant entrapercevoir 

Un soleil jouant à cache-cache.

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Mer d'eau mer de nuages,

Peu importe

Tant que l'on peut se baigner dedans.

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Les nuages naviguent

Sur la mer

Qu'est le ciel.

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Les arbres grandissent,

Touchent le ciel

Et le soutiennent.

 

voila ! j'espere que ces quelques petits poemes vous ont plus !

 


Commentaires

 

1. wolfe  le 18-04-2014 à 11:33:34  (site)

Bonjour
J'aime beaucoup les cultures asiatiques en particuliers les culture japonaise et sud-coréenne. J'ai beaucoup aimé!
Bonne journée

 
 
 
posté le 17-04-2014 à 12:49:34

c'est encore une petite histoire, mais qui raconte la suite du horla, pour ceux et celles qui connaissent. le horla, c'est l'histoire d'une personne normale, mais qu'un "fantome" immatériel et invisible, qui peut cependant faire bouger les choses, et qui est le Horla. le Horla hante donc notre narrateur, qui raconte son histoire dans un journal intime, et finit par bruler sa maison avec dedans le horla et ses domestiques. il brûle sa maison la nuit, le 10 septembre, et mon récit à lieu 5 jour après, le 15 septembre.

 

15 septembre.

 

J'ai passé ces 5 derniers jours à fuir, à fuir ce Horla qui me hante. Je ne me suis pas arrêté, à peine pour boire ou manger, jamais pour écrire ou dormir. Je me suis cependant arrêté aujourd'hui car, il y a quelques heures de cela, j'ai vu mon reflet dans une flaque et ne me suis pas reconnu. Mes cheveux, hirsutes et décorés de brindilles, feuilles et autres, dessinent comme une aura sombre et touffue autour de mon visage. Des cernes immenses s'étendent sous mes yeux, comme alourdies par la souffrance qui se lit dans mon regard. Ma robe de chambre, dont j'étais vêtu avant d'incendier ma demeure, n'est plus qu'un vieux chiffon en lambeaux dont je n'aurais même pas voulu pour nettoyer l'étable des cochons. Moi qui, auparavant, était si soigneux, j'affiche désormais une courte barbe rapeuse qui me mange le cou et les joues, me donnant l'apparence d'une bête sauvage. 

Depuis cette terrible nuit, depuis que j'ai compris qu'Il est impossible à tuer par une méthode humaine, je cours sans relache. Je pensais me réfugier à Paris, chez ma cousine, mais le Horla pourrait s'emparer d'elle comme il l'a fait avec moi. Et à l'heure qu'il est, je doit être porté disparu, ou mort. Mais si je reparait, on me posera des questions, on me croira fou (ce que je suis peut-être) ou l'on découvrira que c'est moi qui ai brûlé ma maison, et, involontairement, mes domestiques. Ce qui est sûr, c'est qu'une fois enfermé dans une prison ou dans un asile, je ne pourrais plus Le fuir.

J'avais également envisagé de me tuer, mais seulement voilà, je ne veux pas d'une mort douloureuse, or rien ne me prouve que le moyen que je choisirai ne le sera pas. De toute façon, je n'en ai âs le courage. Je m'en suis aperçu il y a deux jours, quand je suis passé devant une rivière. Ses eaux tumultueuses dévalaient la pente à grande vitesse, avant de s'écraser avec force contre des rochers pointus, que même les poissons échouaient à éviter. J'avais alors voulu m'y jeter, mais j'en fus totalement incapable. Je me suis alors rendu compte que la mort me terrifiait : ne pas savoir ce qui m'attend, ce qu'il y a après la vie... Je ne peux même pas supporter ces pensées. Pour autant, je ne désire pas redevenir comme l'esclave du Horla. Mais je ne peux pas non plus continuer cette vie indéfiniment, àcourir tout le jour et la nuit, à m'arrêter pour manger les rares baies sauvages que j'aperçois, à boire dans l'eau des rivières que je croise. Bien que l'idée soit tentante, elle est impossible. L'hiver approchant à grand pas, les nuits sont de plus en plus froides (les journées aussi, d'ailleurs), les arbustes perdent leurs feuilles, les animaux se terrent dans leur terrier ou migrent vars des endroits plus chauds. Il n'y aura bientôt plus rien à manger. Sauf moi, pour les bêtes sauvages qui hantent ces forêts. Et, dans mon état, je serais bien incapable de leur résister. Il faudrait d'ailleurs que je voie un médecin, ne serait-ce que pour soigner les estafilades et les écorchures qui ornent mes bras et mes jambes, mais je n'ai malheuresement pas un sou en poche pour le payer.

Ma priorité est de trouver un endroit où passer l'hiver protégé du froid et du Horla. Je ne comprend d'ailleurs pas pourquoi Il me poursuit. Je pensais qu'Il resterait dans ma demeure, en devenant le maître des lieux et en s'y comportant comme un seigneur en son château. Mais je sais maintenant qu'il n'en est rien car Il me poursuit, me traque même, pour une raison que j'ignore.

Je ne pourrai Lui échapper éternellement, car mes forces s'épuisent alors que Lui est infatiguable. J'ai quand même réussi à reprendre des forces, aujourd'hui. L'eau du lac auprès duquel je me suis arrêté est douce et pure et a désséché mon gosier. J'ai réussi à faire un petit feu au-dessus duquel j'ai fait cuire les quelques poissons que j'ai réussi à attraper. J'ai aussi fait une courte baignade dans le lac, afin de me laver. Courte, car je me suis senti gelé et ai dû sortir de l'eau assez rapidement. Ce laps de temps à cependant été suffisant pour me permettre de retrouver une apparence à peu près humaine, même si je sais que ça ne durera pas longtemps. Cette nuit, je dormirai un peu, mais dès demain je me remettrai à courir. En tout cas, il me faut dormir maintenant. Après tout, ne dit-on pas que la nuit porte conseil ?

 

voilà, c'était mon deuxième récit, mais beaucoup plus grand que l'autre. j'éspère qu'il vous a plu, et même si ce n'est pas le cas, n'hésitez pas à me donner votre avis !!!!!!!

 

 


 
 
posté le 17-04-2014 à 09:19:20

cette fois c'est une petite histoire, sur Renart. c'était un rédaction au départ, et il fallait faire un texte sur Renart qui a été obligé à devenir moine pour faire pénitence. il part donc en pélerinage, et en chemin il découvre quelqu'un à qui il joue un mauvais tour.

 

Renart, en route pour le tombeau du Christ, songeait à tous les dangers qui le guettait sur le chemin, quand il arriva à proximité d'une rivière. De là où il était, il vit un pélerin en train de marchander un prix pour franchir la rivière (au Moyen Age, des bandits, seuls ou à plusieurs, rackettaient les voyageurs en leur faisant payer la traversée d'une rivière. s'ils refusaient de payer, les voyageurs étaient coulés en essayant de passer ou ne passaient pas). Le fourbe se tourna pour réfléchir à un moyen depasser sans payer... et il trouva ! Il sortit de sa besace du fromage, qu'il coupa en rondelles de la tailles des pièces. Il prit ensuite du miel, et en enduisit généreusement le fromage puis, prenant des écus d'or, il en racla le bord afin que quelques poussières tombent dans le miel. Renart attendit la nuit pour s'approcher de la rivière, où, comme il s'y attendait, le passeur surgit. Les deux hommes marchandèrent longuement avant de fixer le prix de 10 écus d'or. Le rusé compère donna alors la bourse de fromages enduits de miel, et put traverser la rivière sans encombre.

 

voila, fini, c'était plutot cours.    

 


 
 
posté le 17-04-2014 à 08:55:38

poésie sur le voyage

alors en fait, cette poésie a été faite pour un concours organisée par la bibliothèque de ma ville, et j'en suis assez fière.

 

Voyager par la terre,

S’envoler par les airs,

Ou naviguer en mer.

 

Aucune importance dans les moyens

Tant que le voyage touche à sa fin

Par la grâce de Dieu ou du Malin.

 

Quand le voyage est terminé

Et les valises déballées,

L’amusement peut commencer !

 

Mais maintenant il faut partir,

Nous emportons des souvenirs

En attendant de revenir !

 

S’éloigner par la terre,

S’en aller par les airs,

Ou rentrer par la mer.

 

 

voila, j'espère que vous l'avez aimée !

 

 


 
 
posté le 17-04-2014 à 08:53:13

bonjour à tous !!!!!!!!!!!!!!!!! bon bah voila, c'est mon premier blog alors je vais essayer de bien le faire ! je vais y présenter des poèmes et des petites histoires (dot certaines sont des rédactions, donc pour l'école initialement). j'éspère que ça vous plaira, et n'hésitez pas à laisser un commentaire pour donner votre avis, même si c'est pour dire que ça ne vous plaît pas !!!

bonne lecture !!!!!!!!!!!!!!!!!

 

 


 
 
 

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